Forum de Cup In Europe

Je crois qu'il y a des rumeurs comme quoi CDK et multiplast travaillerait ensemble sur le coup là.

Oui l'annonce du défi français devait être pour la fin du mois, on y est! Ça sent encore le petit défi avec peu de moyens et l'achat d'un package au Defender...

Arnode wrote: Oui l'annonce du défi français devait être pour la fin du mois, on y est! Ça sent encore le petit défi avec peu de moyens et l'achat d'un package au Defender...

On dirait que ça sent de moins en moins........

leloublan wrote:

Arnode wrote: Oui l'annonce du défi français devait être pour la fin du mois, on y est! Ça sent encore le petit défi avec peu de moyens et l'achat d'un package au Defender...

On dirait que ça sent de moins en moins........

Oui Camas est chez Charal. Bien que Beyou a dit qu'il laissera Camas expliquer ses prochains projet qui ne seront pas charal ....

Alinghi RBR devrait commencer a s'entrainer Ils ont 20 jours de nav en vue

Alinghi
A l'aube d'une nouvelle campagne a l'assaut de la Coupe il convient de se souvenir
de la débandade (terme choisi avec soin ) de la dernière participation d'Alinghi
Et de se remémorer ces 2min 38 de brillante analyse distillée dans une chaufferie genevoise

https://youtu.be/o9ZapyPTpSo

Nouvelles de Barcelone.....et ses bases

Le défi francais semble enterré ...as t il jamais existé ???? il y a une base non attribuée ,dernière chance ??????

https://features.americascup.com/ac37-b ... 6RD5gD5eqs

On peut retrouver quelques bribes d'informations sur K-Challenge

https://www.facebook.com/KChallenge2001/

bugs wrote: On peut retrouver quelques bribes d'informations sur K-Challenge

https://www.facebook.com/KChallenge2001/

Oui la page vie mais ca va pas plus loin. On se demande pourquoi...

A si on sait mais on va pas le dire.

Le temps c'est de l'argent....


Les Late Challengers ont jusqu'au 31 mai 2023 pour déposer leur candidature. Le système adopté pour les Late Challengers pour Barcelone 2024 permet aux Late Challengers de déposer leur inscription à tout moment. Ils seront tenus de payer tous les frais d'entrée, le cautionnement de bonne exécution et les frais supplémentaires - totalisant 2,425 millions de dollars américains plus un cautionnement de bonne exécution de 1 million de dollars américains couvert par le dépôt de documents de garantie. Les frais d'inscription tardive progressifs et la date flexible évitent le problème d'une série d'inscriptions tardives déposées à la fin de la période d'inscription tardive, ce qui entraîne un paiement d'inscription supplémentaire de 1 million de dollars américains. Aucune des équipes n'a participé à l'America's Cup à Auckland.

Pour Barcelone 2024, les Late Challengers devront payer tous les frais plus des frais d'inscription tardive de 100 000 USD par mois après le 1er septembre 2022. Les challengers annoncés n'ont dû payer que les premiers frais d'inscription de 1 000 000 USD. Le deuxième versement de 1,25 million de dollars est dû le 1er septembre.

Source SAIL WORLD .COM

Radio New Zealand a rapporté ce soir dans son programme d'information Checkpoint drive-time, que trois membres éminents du Royal New Zealand Yacht Squadron ont démissionné suite à la décision d'attribuer le lieu d'accueil de la Coupe de l'America 2024 à Barcelone.

La station de radio publique a cité une lettre ouverte au commodore Aaron Young du Royal NZ Yacht Squadron (RNZYS), où Sir Michael Fay, qui a dirigé les offres de la Coupe de l'America en 1987, 1988 et 1992 par New Zealand Challenge, et a depuis continué à être impliqué dans l'équipe Kiwi, a présenté sa démission au club qui est le quadruple vainqueur du trophée le plus prestigieux de la voile.

Alan Sefton quitte le club avec lui, qui a été profondément impliqué au niveau de la direction dans les campagnes néo-zélandaises de 1987 à 2003, dont deux victoires en Coupe, ainsi que dans tous les programmes de course autour du monde de Sir Peter Blake. Andrew Johns, conseiller juridique sur plusieurs défis de la Coupe, a également démissionné, selon le rapport de Radio New Zealand.

Dans la lettre, les trois ont déclaré: "Pendant presque 40 ans, la Nouvelle-Zélande a profité d'un tour de tapis magique émouvant avec cet événement alors que ses marins, concepteurs, constructeurs de bateaux et fabricants de voiles, avec le soutien d'une industrie maritime très innovante, ont augmenté au défi de dominer complètement le plus ancien et l'un des plus grands événements du sport mondial et de prendre des positions de leader dans les technologies et les compétences nécessaires pour rendre cela possible.

"Pourtant, lorsque le pays est en mesure de récolter les fruits considérables de ces efforts et réalisations, le Royal New Zealand Yacht Squadron vend les droits d'accueil de l'événement.

"Pour nous, c'est une gifle pour tout le monde et pour tout ce qui s'est passé avant."

Sir Michael a déclaré à Checkpoint que le club avait fait la mauvaise chose.

"Il n'y avait pas besoin de le faire et nous pensions que la seule chose que nous pouvions faire, pour exprimer notre mécontentement et les mauvaises décisions qui avaient été prises, était de démissionner du club.


"Nous y sommes collectivement depuis 150 ans, donc nous l'avons apprécié. Mais … les obligations du club étaient très, très évidentes.

"Quand quelqu'un remporte la coupe, la coupe appartient au club, pas au propriétaire du yacht gagnant. Cela remonte à presque le traité de Waitangi - c'est dans les années 1860.

"Cela a été constant tout le long, on en a beaucoup parlé dans les commissions d'arbitrage et c'est toujours pareil. Il n'appartient pas au propriétaire du navire qui gagne. Il appartient au club."

Sir Michael a déclaré que lui, Johns et Sefton avaient ruminé et découvert que s'ils n'étaient pas du tout d'accord avec la décision, leur seule option était de voter avec leurs pieds.

"A contrecœur, mais en démissionnant", a-t-il déclaré.



Un porte-parole d'Emirates Team New Zealand a déclaré à Sail-World qu'ils n'avaient aucun commentaire à faire à ce sujet.

Je comprends ces démissions, et je les approuve ! La tradition, depuis 150 ans, est que le Defender organise la coupe sur son territoire, au plus près du yacht club du defender. Voilà tout. Exception pour la société nautique de Genève qui n'avait pas de plan d'eau en eau salée et était donc allée à Valencia pour la défense. Mais là, les néozélandais qui renoncent pour des minables raisons de fric à organiser une nouvelle coupe chez eux, je trouve cela lamentable. On se demande même s'ils auront envie de se battre pour la conserver ?! Je verrais bien du 7 à 0 ou 7 à 1 pour le challenger hyper-affûté en 2024. C'est juste un pressentiment ...

Faut pas oublier que ça leur fait plus d'argent pour le bateau...

Certes mais plus d’argent pour quoi en fin de compte?
Éventuellement défendre la coupe avec succès et rester en exil encore une fois par manque d’argent sur leur terre d’origine? C’est une fuite en avant…

Je comprends la manœuvre financière pragmatique d’une équipe ambitieuse sportivement. En revanche j’ai du mal à comprendre l’objectif à long terme. Le lien avec le pays peut se briser, si il ne l’est pas déjà, ce qui devrait pas mal atténuer les vocations des plus jeunes et nécessairement avoir un impact sur l’industrie du milieu.

Je vous rejoins, c'est un peu con de dépenser autant de dollars pour un trophée que tu ramènes pas vraiment à la maison...

La vraie bagarre, qui sera passionnante à suivre, sera pour la sélection du challenger, entre les grosses écuries : les trois mêmes que la dernière fois, Italie, Grande-Bretagne, USA ... et la Suisse avec de nouveau, elle aussi, une forte ambition dès sa première participation sur ce type de bateau. C'est pour cela que j'ai le pressentiment que le challenger, hyper-affûté, mettra une raclée 7 à 0 ou 7 à 1 au defender en 2024 ...

Depuis un moment TNZ est quand même quasi intégralement financé par des fonds privés et étrangers (Emirates, Toyota, omega, Nespresso il y a quelques années), les fonds publics ne doivent pas représenter une grosse part du budget.
Entre défendre dans de bonnes conditions et au rabais à Auckland le choix doit quand même être rapide.

Ca se defend mais c'est sur que etre le defender et n'etre pas chez soi c'est plus l'ame de la coupe, c'est une coupe du monde de monocoque volant. C'est bien aussi c'est c'est plus comme avant c'est tout c'est la mondialisation

gloups wrote: Ca se defend mais c'est sur que etre le defender et n'etre pas chez soi c'est plus l'ame de la coupe, c'est une coupe du monde de monocoque volant. C'est bien aussi c'est c'est plus comme avant c'est tout c'est la mondialisation

Attend !
Alinghi revient dans la course, il y aura bientôt des combats d'ego.