Le team all black
Publié : 16 déc. 2005 12:07
Pour relancer les différents thread du forum, voici un
RESUME DES EPISODES PRECEDENTS
L' arrivée des kiwis dans la Coupe remonte à 1987, lors de la fameuse édition australienne qui vit la fin en apothéose des 12mJI. D'emblée, les néozeds étonnent et innovent avec le premier (et seul) 12m construit en "plastique" et, a la barre, un gosse surdoué, Chris Dickson, qui va survoler les éliminatoires de la Louis Vuitton Cup. Les Kiwis écrasent les français de French Kiss en 1/2 finale mais ne peuvent rien contre le commando mis en place par Dennis Conner pour récupérer la coupe perdue 4 ans plus tôt. Ils s'inclinent devant le futur vainqueur.
Suit alors un épisode rocambolesque ou, vexé de ne pas avoir été au bout, le patron du défi kiwi michael Fay décide de lancer un défi aux américains sur un monocoque géant de plus de 30 mètres, comme l'acte de donnation de la coupe datant de plus de 130 ans lui en donne le droit. Il s'en suis une bataille juridique au cours de laquelle les marins disparaissent devant les avocats avec finalement un match ridicule entre un catamaran de 18 m ultraléger et le monstre néozélandais qui se fait logiquement étriller. Cette épisode donne naissance aux class america et a la coupe actuelle. En 92, les néozeds reviennent avec la encore un bateau futuriste, sans safran mais doté d'une quille tandem dont les deux voiles pivotent. le bateau va vite mais est très difficile a maitriser et l'équipage, un peu tendre, doit s'incliner en finale devant les qualité de match racer et la roublardise de Paul Cayard qui les déstabilise autant sur l'eau que a terre avec des attaques humoristiques et redoutable sur des points de réglèment.
En 95, fini de rire avec des bateau blancs ou rouges, les kiwis reviennent aux fondamentaux de leur culture et débarque avec une équipe soudée comme un pack de rugby autour de Peter Blake et du ténébreux Russel Coutts et surtout deux bateaux noir, quasi identique : les fameux "black magic". Ils écrasent sans ménagement la concurrence (1 seule régate perdue) et gagnent l'america's cup 5/0.
4 ans plus tard, les observateurs prédisent une défense difficile et donne peut de chance a ce petit pays face à l'armada du reste du monde. Une fois encore, les kiwis étonnent avec des bateaux encore plus innovant, des barreurs et un équipage en état de grace et le fameux "team spirit" qui permet à R Coutts de s'effacer lors de la dernière régate pour laisser son jeune élève Dean Barker achever les italiens 5/0 en finale.
Hélas pour eux, l'état de grace ne dure pas et Coutts s'engueule avec les dirigeants pour des histoires de gros sous et de pouvoir. Il claque la porte en emmenant en Suisse qq uns des meilleurs équipiers. Le team tente de survivre mais gaspille une énergie folle a conspuer les "traitres" et a mettre au points d'autres innovations (le Hula entre autre). La parano prend le pas sur la sérénité et la qualité des entrainements et de la mise au point s'en ressent. Les kiwis, jusque là dominateurs, se font humilier par R Coutts devenu suisse pour l'occasion avec un bateau qui ne termine pas 3 régates de la finale pour cause de casse.
Depuis, les all blacks ont digéré l'affront et se sont remis a travailler avec plus de sérénité. Malgré la malchance (un bateau explosé sur un container à Marseille), Dean Barker et les siens reviennent et sont, a juste titre, craint par leurs adversaires qui les ont vu le plus souvent devant au cours des acts de préparation. Avec leur nouveau bateau s'achèvera la parenthèse des bateaux "maudits" de l'édition 2003 et alors, tout le monde sait que the ALL BLACKS ARE BACKS
RESUME DES EPISODES PRECEDENTS
L' arrivée des kiwis dans la Coupe remonte à 1987, lors de la fameuse édition australienne qui vit la fin en apothéose des 12mJI. D'emblée, les néozeds étonnent et innovent avec le premier (et seul) 12m construit en "plastique" et, a la barre, un gosse surdoué, Chris Dickson, qui va survoler les éliminatoires de la Louis Vuitton Cup. Les Kiwis écrasent les français de French Kiss en 1/2 finale mais ne peuvent rien contre le commando mis en place par Dennis Conner pour récupérer la coupe perdue 4 ans plus tôt. Ils s'inclinent devant le futur vainqueur.
Suit alors un épisode rocambolesque ou, vexé de ne pas avoir été au bout, le patron du défi kiwi michael Fay décide de lancer un défi aux américains sur un monocoque géant de plus de 30 mètres, comme l'acte de donnation de la coupe datant de plus de 130 ans lui en donne le droit. Il s'en suis une bataille juridique au cours de laquelle les marins disparaissent devant les avocats avec finalement un match ridicule entre un catamaran de 18 m ultraléger et le monstre néozélandais qui se fait logiquement étriller. Cette épisode donne naissance aux class america et a la coupe actuelle. En 92, les néozeds reviennent avec la encore un bateau futuriste, sans safran mais doté d'une quille tandem dont les deux voiles pivotent. le bateau va vite mais est très difficile a maitriser et l'équipage, un peu tendre, doit s'incliner en finale devant les qualité de match racer et la roublardise de Paul Cayard qui les déstabilise autant sur l'eau que a terre avec des attaques humoristiques et redoutable sur des points de réglèment.
En 95, fini de rire avec des bateau blancs ou rouges, les kiwis reviennent aux fondamentaux de leur culture et débarque avec une équipe soudée comme un pack de rugby autour de Peter Blake et du ténébreux Russel Coutts et surtout deux bateaux noir, quasi identique : les fameux "black magic". Ils écrasent sans ménagement la concurrence (1 seule régate perdue) et gagnent l'america's cup 5/0.
4 ans plus tard, les observateurs prédisent une défense difficile et donne peut de chance a ce petit pays face à l'armada du reste du monde. Une fois encore, les kiwis étonnent avec des bateaux encore plus innovant, des barreurs et un équipage en état de grace et le fameux "team spirit" qui permet à R Coutts de s'effacer lors de la dernière régate pour laisser son jeune élève Dean Barker achever les italiens 5/0 en finale.
Hélas pour eux, l'état de grace ne dure pas et Coutts s'engueule avec les dirigeants pour des histoires de gros sous et de pouvoir. Il claque la porte en emmenant en Suisse qq uns des meilleurs équipiers. Le team tente de survivre mais gaspille une énergie folle a conspuer les "traitres" et a mettre au points d'autres innovations (le Hula entre autre). La parano prend le pas sur la sérénité et la qualité des entrainements et de la mise au point s'en ressent. Les kiwis, jusque là dominateurs, se font humilier par R Coutts devenu suisse pour l'occasion avec un bateau qui ne termine pas 3 régates de la finale pour cause de casse.
Depuis, les all blacks ont digéré l'affront et se sont remis a travailler avec plus de sérénité. Malgré la malchance (un bateau explosé sur un container à Marseille), Dean Barker et les siens reviennent et sont, a juste titre, craint par leurs adversaires qui les ont vu le plus souvent devant au cours des acts de préparation. Avec leur nouveau bateau s'achèvera la parenthèse des bateaux "maudits" de l'édition 2003 et alors, tout le monde sait que the ALL BLACKS ARE BACKS