Re: Trophée Jules Verne
Publié : 10 janv. 2017 00:41
Je l'aime bien joyon quand il est piqué au vif^^
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Heureusemenr que tu n avais pas fait de prono. Car tu dissait sur que petit bateau petit mat s etait mort .. la je me demande si in bateau pus gros arrivera a faire mieux sans foil...Dam a écrit : 26 jours pour aller jusqu'au Horn![]()
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2.000nm de gagnés sur BP dans le sud![]()
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Oui l'année derniere mais la vu la fenetre ca va etre vraiment dur de faire mieux sans changement de techno...Holé a écrit : On a vu l'année dernière que sur une fenêtre identique Spindrift était plus rapide qu'IDEC.
Oui mais l'an dernier la fenêtre météo avait fait la part belle aux conditions plus légères ; là même où Spindrift est très avantagé, qu'en aurait-il été d'une confrontation Idec/Spindrift dans lIndien cette année ? Un léger avantage oui peut-être mais sans plus. Idec a tout de même réussi par 2 fois à traverser par l'avant des zones de transition pour aller attraper la dépression qui avait de l'avance.Holé a écrit : On a vu l'année dernière que sur une fenêtre identique Spindrift était plus rapide qu'IDEC.
Spindrift a un avantage dans des mers plus formées ou dans beaucoup de vent, il passe mieux grâce à plus de longueur et de volume, cette année IDEC a réussi a resté sur une mer "plate" en avant de la dépression, je ne sais pas si Spindrift aurait fait mieux, de toute façon ça ne servait à rien d'aller plus vite sinon à buter sur la zone de transition devant.catmat a écrit :
Oui mais l'an dernier la fenêtre météo avait fait la part belle aux conditions plus légères ; là même où Spindrift est très avantagé, qu'en aurait-il été d'une confrontation Idec/Spindrift dans lIndien cette année ? Un léger avantage oui peut-être mais sans plus. Idec a tout de même réussi par 2 fois à traverser par l'avant des zones de transition pour aller attraper la dépression qui avait de l'avance.
Une belle remontée de l'Atlantique en sus et il faudra quelques tentatives avant de trouver une fenêtre aussi belle, un bateau aussi bien équilibré, barré et routé. Une rupture technologique semble en effet nécessaire.
Je suis pas sûr que ca soit le genre à temporiser, sauf incident technique.victor a écrit : Vont-ils temporiser pour 1ssurer le coup? D'un côté il doit être tentant de mettre la barre très haut (sur le papier on est pas loin des 40 jours, quel symbole, 2x moins que les 80 d'origine du TJV!) Mais de l'autre effectivement en calmant le jeu le record est quasi assuré...
V'là qu'ça recommence!!Tiketitan a écrit : de toute façon ça ne servait à rien d'aller plus vite sinon à buter sur la zone de transition devant.
Jusque là, ils n'arrivent qu'exceptionnellement à passer au travers des calmes de devant, pour reprendre cette année, Idec a cravaché à 36 noeuds de moyenne pendant quasi une semaine, Joyon l'a dit ils étaient à la limite de la résistance mécanique du bateau, donc prendre des risques supplémentaires pour arriver dans une zone de calmes.... Qu'en pense l'armchair ?Dam a écrit :V'là qu'ça recommence!!Tiketitan a écrit : de toute façon ça ne servait à rien d'aller plus vite sinon à buter sur la zone de transition devant.
Ca fait 20 ans que j'entends dire que ça sert à rien d'aller plus vite parce que sinon on bute dans la zone de devant, et 20 ans que les bateaux vont de plus en plus vite et qu'ils ne butent toujours pas dans la zone de devant.
Le seul cas de figure où je peux comprendre qu'on peut s'autoriser à lever le pied c'est par sécurité, pour laisser passer un coup de vent, mais sinon je suis 200% convaincu depuis mon armchair qu'on a toujours intérêt à aller plus vite: au pire, on bute réellement dans la zone de devant et c'est neutre par rapport à celui qui aura temporisé, au mieux, on arrive quand-même à transpercer un peu le tampon, ou bien on retrouve des conditions favorables un peu plus tôt et on a gagné des miles.
A mon grand regret je n'ai jamais eu l'occasion de doubler une dépression dans le grand sud, mais mon armchair et moi on pense que la zone de molle devant n'est pas un passage à niveau avec arrêt complet, mais qu'on continue quand-même à y avancer et que plus tôt on y rentre, plus tôt on en sort, avec surtout d'avantage de possibilités de saisir des opportunités si elles se présentent. Le gain théorique d'attaquer la molle légèrement plus tôt n'est peut-être pas énorme, mais la voile c'est souvent l'effet papillon. Alors je pense que les coureurs ne lâchent jamais le moindre mile volontairement parce que le mile en question peut se transformer 48h plus tard en dizaines de miles de gain ou de perte.Tiketitan a écrit : Joyon l'a dit ils étaient à la limite de la résistance mécanique du bateau, donc prendre des risques supplémentaires pour arriver dans une zone de calmes.... Qu'en pense l'armchair ?
C'est un peu la vision que j'avais aussi, mais cette fois-ci on dirait quand-même que IDEC est passé à la hargne dans la baston, non?Tiketitan a écrit :Je suis d'accord avec toi globalement, mais quand tu arrives aux limites des capacités du bateau, la nouvelle génération de bateaux, même si elle est conçu pour du solo (je suis persuadé qu'un des deux tentera le coup en équipage dans les années à venir) sera plus dans la philosophie Idec que Spindrift, et donc probablement plus à l'aise dans les zones de transition et peut être capable de passer les dorsales pour trouver du vent frais devant, dans ce cas, ca changera la donne.
Justement ils ne pouvaient pas plus attaquer et ont terminé dans une zone plus calme quand la dépression s'est disloquée.Dam a écrit :A mon grand regret je n'ai jamais eu l'occasion de doubler une dépression dans le grand sud, mais mon armchair et moi on pense que la zone de molle devant n'est pas un passage à niveau avec arrêt complet, mais qu'on continue quand-même à y avancer et que plus tôt on y rentre, plus tôt on en sort, avec surtout d'avantage de possibilités de saisir des opportunités si elles se présentent. Le gain théorique d'attaquer la molle légèrement plus tôt n'est peut-être pas énorme, mais la voile c'est souvent l'effet papillon. Alors je pense que les coureurs ne lâchent jamais le moindre mile volontairement parce que le mile en question peut se transformer 48h plus tard en dizaines de miles de gain ou de perte.Tiketitan a écrit : Joyon l'a dit ils étaient à la limite de la résistance mécanique du bateau, donc prendre des risques supplémentaires pour arriver dans une zone de calmes.... Qu'en pense l'armchair ?
C'est un peu la vision que j'avais aussi, mais cette fois-ci on dirait quand-même que IDEC est passé à la hargne dans la baston, non?Tiketitan a écrit :Je suis d'accord avec toi globalement, mais quand tu arrives aux limites des capacités du bateau, la nouvelle génération de bateaux, même si elle est conçu pour du solo (je suis persuadé qu'un des deux tentera le coup en équipage dans les années à venir) sera plus dans la philosophie Idec que Spindrift, et donc probablement plus à l'aise dans les zones de transition et peut être capable de passer les dorsales pour trouver du vent frais devant, dans ce cas, ca changera la donne.