Hel a écrit : Je n’aimais pas trop l’idée de cette course (je ne vais pas me répéter) mais à l’épreuve, je réfléchis, toutes les courses sont vaines… mais belles aussi. Bé si ! Et je pense à ceux qui mènent leur monture, et à ceux qui gèrent ces montures. (Moi je suis proches du petit peuple des fourmis). Donc… si ça passe… et que ça fait avancer des choses…
Des milliers ,millions, d'âmes souhaitent que ca passe bien sûr ca c 'est la réponse facile
Faire avancer les choses c 'est le débat sans fin la question implicite qu 'il fallait pas poser parce que pas de réponses définitives
Faire avancer les choses oui mais dans quelle direction ??? pas de vérité incontestable
Le fait-on pour l'argent ? pour la gloire? pour faire avancer les choses ?'?
ou juste parce que c 'est la ,et que l'on en a envie ! quoi qu 'il en coûte ?
avec cette question : quand tu as gagné le tour du monde en solitaire ,que reste t il de tes rêves
pas de montagne plus haute......
Et la fameuse phrase me vient a l'esprit
"Tout le malheur des hommes vient d'une seule chose, qui est de ne savoir pas demeurer en repos, dans une chambre"
et basta pas besoin de chercher plus loin
La ,est ce que l'on peut échanger : bonheur au lieu de malheur , ce serait euphorique!
Et le morceau de Gerard Manset dont les textes ont nourris mes réflexions depuis 68
Nous avons marché le long des sentiers
Parmi nous, certains sont tombés
Et tous les autres que deviennent-ils?
Nous sommes prisonniers de l'inutile
Derrière nous, campagnes et villages
Ensevelis sous le lierre sauvage
Ou seul un chien peut-être vit tranquille
Nous sommes prisonniers de l'inutile
Nous sommes prisonniers
Des liens qui nous attachent
Et nous souffrons
Dans notre cœur, comme une tache
Quelque chose qui grandit
Et qui se cache
Nous sommes prisonniers des liens
Qui nous attachent
Quelques croix sont plantées sur le chemin
Que les bourreaux nous montrent de la main
Disant "de l'autre monde, que reste-il?"
Nous sommes prisonniers de l'inutile
Au-delà de nous, dans le ciel de plomb
Y a-t-il un Dieu, quelqu'un, nous l'appelons?
Nous oublier, comment le peut-il?
Nous sommes prisonniers de l'inutile
Nous sommes prisonniers
Des liens qui nous attachent
Et nous souffrons
Dans notre cœur
Quelque chose qui grandit
Et qui se cache
Nous sommes prisonniers des liens
Qui nous attachent
Prisonniers de l'inutile
Bon c 'était la minute "une bière de trop "